23 avril 2006

En attendant Pénélope et Ulysse

«(tu me fais chier avec ta salle chanson !) S’il te plais tais toi !
ou je vais m’énerver
Si tu continu je ne t’accompagne pas à la [...]
Si tu me suppli à genoux je ferais peut etre un effort .
Bon ! tu es miséricordieux, donc tu peux te relever.
Tu es un brave, je crois que je vais t’adouber chevalier Bien sur que je suis une reine ! en doutais tu ?
On aurait dit que moi aussi j’écrivais des conneries, ok ?
ok !
Mais en réalité je sais pas quoi écrire. Y a que toi pour écrire des conneries aussi grosses que toi.
Tut ! pouêt !
ping !
ping, pas prrou !
hiboux caillouux genoux poux
t’as des noeuds dans les cheveux ?
oui et toi t’es pas rasé donc t’as des poils sur la fiaigu_reaïe !
et alors ? J’suis beau comme ça, non ?(enfin j’te pose la question mais je connais déjà la réponse)
ah ouai ?
En réalité, il y en a deux : celle que tu penses, et celle que tu vas dire.
et quesque je vais dire ?
Je ne sais, en revanche je sais ce que tu penses.
Ah ouais et tut ! je pense quoi d’aprs toi ?
BEN QUE JE SUIS BEAU EVIDEMMENT !
Pour revenir à ton rasage et bien je vais te dire que t’es très moche avec tous ces poits (petits ?) non poils qui piquent et je vais penser la même chose, donc tu ne connais pas vraiment bien mes reactions
pas très clair tout ça, enfin.
Mais je croyais que c’était comme ça que tu m’aimais ?
faut croire que non
bon alors c’est comment que tu m’aimes ?
encpouët ! encoretut ! faudrais t’il (bon déjà tu vas commencer par écrire français) que je t’aihum ! masses.
BON BEN JE ME JETTE PAR LA FENËTRE ALORS AAAAAAAAAAAAAAAAH !
a yé t’es mort ?
non parce que finalement, tu met la chose au conditionnel sans vraiement nier la chose, ce que tu ne pourrais d’ailleurs pas faire si tu étais franche.
detxut ! deuxieme leçon de français, pour toi cette fois, c’était du subjonctif passé . BREF 5NON PARCE QUE LA ON 2CRIT PAS TOUT MAIS EN FAIT C’EST QUAND MEME MOI QUI FAIT TERS PHRASES A L’ORAL° SALE MENTEUR TU SAIS MEME PAS ECRIREZ : TES
bref je commence puisque tu ne me laisses pas finir mes phrases avec ters : TUT qui font chier, donc si il y a bien quelqu’un de franc dans cette pièce , c’est pas toi ! je le repête et je signe :c’est pas toi ! signé “[...]”
tu le repête, et ben c’est du joli !
c’est alors, mais en symétrie, que comme dans “GONE WITH THE WIND ”, elle le prend de force (lui se débattant de son mieux) pour l’embrasser à son corps défendant.

Bon d’accord, mais pourquoi je suis pas franc j’ai pas bien compris.i sont francs mes tuts.
oui tut ! mais t’as pas le droit de dire tut ! que pouët ! tu fais les phrases à ma placve apres on va croire que je suis une débile mentale. ALORS retires çà maintenantt
bon alors d’une part je t’ai encore tout dicté, et d’autre part tout de suite on peut voire qu’encore une fois y a plus de ponctuation, d’accent ni d’orthographeuh !
qu’est ce qu’i y a à dire espèce de sale parisien beau intellignet modeste gentil, bref génial quoi, beau surtout.
comment ça beau surtout ?
tu es tellement beau, que malgré toutes tes autres (innombrables) qualités, c’est celle qu’on remarque en premier (logique).

Toi aussi, belle [...], tu es sublime, sensationnelle, magnifique, merveilleuse, quand tu es là tout s’illumine, et quand tu n’y es pas c’est l’angoisse, la nuit qui n’en finit pas. Que te dire d’autre si ce n’est que tu m’éblouis, tu me rends fou, ivre d’un amour qui me brise, oh ! !... mon adorée, tu es tout, tu es ma vie, mon rayon de soleil, mon espoir caché, tu es exquise tout simplement et je ne peux me passer de toi, viens là que je te chérisse..
C’est alors, mais en parallèle, que, comme dans “Autant en emporte le vent ”, il l’emporte au pays des lutins et des nains méchants (elle se défendant à corps et à cris), pour la garder toute l’éternité auprès de lui.
FIN...»

Je pose juste une question... c'est un peu tard c'est vrai mais : le nain c'est moi ? :) Je ne crois pas avoir tout compris.
Rétrospection : je touche là quelque chose de sacré (j'en reviens pas de ce que je fais) : pouvons-nous rire de tout ?

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