Voilà bien quelques temps que je suis ennuyé par une phrase. C'est une simple phrase bien sûr et elle n'engage pas à grand chose, mais c'est la force des mots que de parfois toucher en des endroits reculés de la conscience. Se mettent alors à vibrer les émotions et le corps par naïveté plus que par bêtise.
Cette phrase elle tourne encore et encore dans ma tête depuis des mois et je ne sais pas quoi en faire. J'ai essayé de savoir comment elle avait été fabriquée, pensant que l'origine de sa création me permettrait de saisir le sens que je pourrais lui donner. J'ai voulu la confronter à des discours plus terre-à-terre, décortiquer sa syntaxe, la tordre par la force de la Raison. Loin d'être parfaite pourtant, toute rhétorique a échoué jusqu'à présent à affaiblir mon sentiment.
Les racines me sont connues et pourtant je reste le même enfant interdit.
Car nous sommes de ce pays, la France, qui vota la liberté du monde et où l’on fit une constitution en pensant à l’univers entier.
Cette phrase elle tourne encore et encore dans ma tête depuis des mois et je ne sais pas quoi en faire. J'ai essayé de savoir comment elle avait été fabriquée, pensant que l'origine de sa création me permettrait de saisir le sens que je pourrais lui donner. J'ai voulu la confronter à des discours plus terre-à-terre, décortiquer sa syntaxe, la tordre par la force de la Raison. Loin d'être parfaite pourtant, toute rhétorique a échoué jusqu'à présent à affaiblir mon sentiment.
Les racines me sont connues et pourtant je reste le même enfant interdit.
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