En rentrant ce soir je suis passé par la petite place suspendue surplombée d'un haut building.
Il était un peu tard, j'avais traîné un peu, et les lumières des bureaux étaient toutes éteintes, le grand bâtiment était noir. Au pied de celui-ci on pouvait voir les reflets des constructions environnantes beaucoup plus petites.
Soudain je vis un lumière se refléter très haut. Ce n'était pas la première fois que j'en voyais une semblable. Le contour était assez difficile à deviner à cause de l'irrégularité de la surface vitrée mais la clarté blanchâtre était continue. Ça aurait pu être une fenêtre ouverte et inclinée avec un certain angle vers le bas mais la lumière se déplaçait: ma première conclusion ne pouvait être la bonne.
Aussitôt je regardai au-dessus de moi à la recherche d'un avion éventuel (malgré l'antilogie du clignotement des lumières d'avions): l'altitude devait être assez élevée et la distance globale assez grande mais sans plus vu que le reflet avait une certaine taille. Je me suis retourné mais le ciel sans nuage était désespérément vide.
Je cherchai alors des jeux de miroirs possibles avec des buildings alentour en calculant une source éventuelle à l'aide de comparaisons avec les reflets aisément identifiables des habitations et des commerces plus bas. Là encore je fis choux blanc.
La tour Eiffel n'était pas orientée dans le bon sens pour produire ce reflet et la vitesse angulaire de son phare aurait produit un balayage beaucoup plus rapide.
Les voitures montant sur la droite avaient bien la bonne vitesse et la bonne orientation mais se trouvaient beaucoup trop bas et étaient en trop grand nombre.
Il était un peu tard, j'avais traîné un peu, et les lumières des bureaux étaient toutes éteintes, le grand bâtiment était noir. Au pied de celui-ci on pouvait voir les reflets des constructions environnantes beaucoup plus petites.
Soudain je vis un lumière se refléter très haut. Ce n'était pas la première fois que j'en voyais une semblable. Le contour était assez difficile à deviner à cause de l'irrégularité de la surface vitrée mais la clarté blanchâtre était continue. Ça aurait pu être une fenêtre ouverte et inclinée avec un certain angle vers le bas mais la lumière se déplaçait: ma première conclusion ne pouvait être la bonne.
Aussitôt je regardai au-dessus de moi à la recherche d'un avion éventuel (malgré l'antilogie du clignotement des lumières d'avions): l'altitude devait être assez élevée et la distance globale assez grande mais sans plus vu que le reflet avait une certaine taille. Je me suis retourné mais le ciel sans nuage était désespérément vide.
Je cherchai alors des jeux de miroirs possibles avec des buildings alentour en calculant une source éventuelle à l'aide de comparaisons avec les reflets aisément identifiables des habitations et des commerces plus bas. Là encore je fis choux blanc.
La tour Eiffel n'était pas orientée dans le bon sens pour produire ce reflet et la vitesse angulaire de son phare aurait produit un balayage beaucoup plus rapide.
Les voitures montant sur la droite avaient bien la bonne vitesse et la bonne orientation mais se trouvaient beaucoup trop bas et étaient en trop grand nombre.
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